En France, la préoccupation autour de la qualité de l’air intérieur prend de l’ampleur

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Vaisala
Communiqué de presse
Paris, le 6 septembre
 

En France, la préoccupation autour de la qualité de l’air intérieur prend de l’ampleur

Avec la crise sanitaire, la qualité de l’air dans les lieux clos est devenue une préoccupation majeure pour bon nombre de citoyens. Vaisala, leader mondial des technologies de mesure, a pu le constater en menant l’enquête aux États-Unis, en France, en Allemagne et en Finlande. Afin de connaître le sentiment de leurs habitants sur ce sujet, l’entreprise a interrogé près de 4 000 personnes, dont 1 000 Français, au début de l’été. Résultats : plus de 1/3 d’entre elles se disent préoccupées par la qualité de l’air sur leur lieu de travail, plus de la moitié affirment également que celle-ci a un impact sur leur motivation à se rendre dans les espaces publics, quand 2/3 des répondants considèrent qu’elle freine leurs envies d’évasion. 

Un retour au bureau qui inquiète

Alors que les taux de vaccination sont relativement élevés dans les pays étudiés, l’enquête menée par Vaisala révèle un niveau élevé de préoccupation concernant la qualité de l’air intérieur. À l’approche de la fin des vacances, 30 % des Français se déclarent inquiets à l’idée de retourner au bureau. Un pourcentage qui s’élève même à 45 % chez nos voisins allemands. Pour se sentir rassurés, 62 % de nos concitoyens apprécieraient de recevoir, de la part de leur employeur, plus d’informations concernant la qualité de l’air. 

« Nous pensons que cette préoccupation est liée au fait qu’il a été répété ces derniers mois que le risque d’infection à la Covid-19 était plus élevé dans les espaces intérieurs et dans les lieux où les personnes se trouvent à proximité les unes des autres. En mettant en place une surveillance des niveaux de CO2 dans les bureaux, les organisations pourraient rassurer leurs collaborateurs », explique Jean-François Bore, ingénieur de vente d'applications chez Vaisala.

La qualité de l'air intérieur peut être contrôlée à l'aide d'instruments qui mesurent, entre autres paramètres, le CO2, l'humidité et la température. Ces derniers peuvent ensuite être utilisés pour informer automatiquement les systèmes de ventilation et de gestion des bâtiments, afin d'optimiser la qualité de l'air dans les bureaux.

"La qualité de l’air intérieur n'a pas seulement une incidence sur la propagation de maladies comme la Covid-19. Elle agit également sur le niveau d'énergie des employés, car l'expiration élève les taux de CO2 qui, à leur tour, augmentent la somnolence ", poursuit Jean-François Bore.

Une préoccupation plus forte encore dans les espaces publics

Dans le cadre de son enquête, Vaisala a également étudié la perception de la qualité de l’air qu’avaient les usagers dans les espaces publics, tels que les centres commerciaux, les installations sportives et les transports. Globalement, les personnes interrogées, se sentent plus inquiètes (61 % des Français) dans ces environnements que sur leur lieu de travail. À titre de comparaison, seuls 39 % des Français et 34 % des répondants au global, se disent concernés par la qualité de l’air extérieur. Cette préoccupation se traduit également par une réticence à voyager. 65 % des personnes interrogées, dont 66 % de Français,  expliquent ainsi que leur méconnaissance de la qualité de l'air intérieur dans les espaces publics affecte leur motivation à prendre l’avion ou le train.  

« Les écoles, les centres commerciaux, les restaurants, les gares et les aéroports bénéficient tous d'une surveillance de la qualité de l'air intérieur. Les virus se déplacent plus rapidement dans un air sec, mais l'humidité peut provoquer des malaises. Il est donc important de surveiller et de maintenir des conditions optimales, et de partager les données de surveillance avec toutes les parties prenantes, y compris le personnel et le public qui circulent dans ces lieux », précise Jean-François Bore. 

Un besoin d’informations prégnant

D'après les résultats de l'enquête, plus de la moitié des personnes interrogées souhaitent obtenir davantage d'informations et de données sur la qualité de l'air dans les lieux où elles passent du temps. Cela signifie que les gestionnaires de site sont confrontés à des décisions importantes.

"Ces dernières années, de nombreux pays ont mis en place des réglementations concernant la surveillance des paramètres de qualité de l'air intérieur, tels que le CO2. Ces réglementations sont conçues pour garantir une qualité de l'air optimale. Seulement, pour atteindre cet objectif, il est essentiel de disposer de données précises et scientifiques", explique Jean-François Bore. 

Des instruments de mesure fiables jouent un rôle-clé dans la prise de décision pour prévenir la propagation des maladies et protéger la santé des gens. La condition préalable à un air intérieur sain est une ventilation et une climatisation efficaces qui empêchent la propagation des maladies, gardent l'esprit clair et garantissent un environnement sain.

L'enquête Vaisala a été menée entre le 21 juin 2021 et le 11 juillet 2021 en collaboration avec la société d'études de marché Norstat en Finlande, en France, en Allemagne et aux États-Unis. Elle a rassemblé environ 1 000 répondants dans chaque pays, des hommes et des femmes âgés de 18 à 65 ans. 

 

Vaisala est un leader mondial de la mesure météorologique, environnementale et industrielle. S'appuyant 85 ans d’expérience, Vaisala fournit des observations pour un monde meilleur, avec des technologies à l'épreuve de l'espace pour l'exploration de la planète Mars et au-delà. Nous sommes un partenaire digne de confiance pour les clients du monde entier en offrant une gamme complète de produits et de services d'observation et de mesure innovant. Basée en Finlande, Vaisala emploie plus de 1 900 professionnels dans le monde entier et est cotée à la bourse du Nasdaq d’Helsinki. 
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